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Titre :
Transdoc
Légende - Résumé :
Le système expérimental de fourniture électronique de documents Transdoc est installé dans les locaux du centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris. Ce système a été mis en place par le CNRS, l'INPI, l'EDF-GDF, la société télésystèmes Questel. Il a été réalisé avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée.
Gérard Cathaly (CNRS-CDST), responsable du secteur recherche et développement du laboratoire de reprographie du CNRS/COST, présente le projet, notamment le disque optique numérique.
Nom de fichier :
Inria-052_Transdoc-fr.mp4
Titre :
Transdoc
Année :
1986
Durée (min) :
00:17:28
Publications :
https://videotheque.inria.fr/videotheque/doc/52
Autres versions :
Master VF : 52
Master VEN :
Autre : Lien externe :
Mots clés :
N° master :
52
Durée :
17 min 28 sec
IsyTag :
armoire - article - bibliographique - commande - copie - disque - document - document‚ - écran - ensuite - est-à-dire - filière - image - imprimante - indexation - l' - microfiche - microfiches - numéro - opération - page - panier - référence - serveur - système - terminée‚ - TRANSDOC - utilisateur
Transcription automatiqu :
sommes ici dans les locaux du centre de documentation scientifique et technique du cnrs à paris installé le système expérimental de fournitures électroniques de documents transdermique système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le cnrs et npi edf la société tele système cuesta elle a été réalisée également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de neuf cents quatre-vingt deux des communautés européennes appelées d'ogden elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris installé le système expérimental de fournitures électroniques de documents transdermique système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le cnrs et npi edf la société tele système cuesta elle a été réalisée également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de neuf cents quatre-vingt deux des communautés européennes appelées d'ogden elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le cnrs et npi edf la société tele système cuesta elle a été réalisée également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de neuf cents quatre-vingt deux des communautés européennes appelées d'ogden elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF la société tele système cuesta elle a été réalisée également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de neuf cents quatre-vingt deux des communautés européennes appelées d'ogden elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société tele système cuesta elle a été réalisée également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de neuf cents quatre-vingt deux des communautés européennes appelées d'ogden elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de neuf cents quatre-vingt deux des communautés européennes appelées d'ogden elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· elle portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur système concernant l'édition et la fourniture électronique de documents l'originalité du système c'est d'un mètre une application de différent s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est negro fiche l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSVOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont numérisées heure les écrans haute définition imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optique numérique disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· disques optiques que nous utilisons ici est fourni par la société alcatel thomson jihadiste c'est un disque en face dans la capacité maximum et d'un diamètre douze pouces c'est-à-dire environ trente centimètres première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mrs référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· référence comprennent le titre du périodique titre de article et le nom des auteurs ainsi que de clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès composé de trente six caractères qui comprend entre autres le numéro et ses scènes volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ volume l'année et la pagination deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ deuxième plaît qui euh est ton maximum de caractères est un simple numéro agrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article fois l'opération de chargement des références terminée il y une étape de préparation des documents qui consistent à reporter des clés en tête de chaque article de périodique pour ensuite réaliser l'opération de numérisation actuellement l'opération qui se déroule devant vous le type de document les cadences obtenues varient de trois cents cinquante à six cents pages heure fois la terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique est intégré dans le processeur image dont on a parlé tout à heure la numérisation les documents se trouvent stocké sur mémoire magnétique tampon l'ordre où ils ont été scanné opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· opération d'indexations va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur le l'ordinateur ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· ce faire on utilise dans le numéro indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui indiqué en haut de chaque article et que l'on a au moment de la préparation des ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur va ensuite nous envoyer sur la console informatique qui se trouve à droite les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes ce document vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· vérification du document l'va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document c'est à dire qu'à ce moment-là l'indexation est réellement effectuée on a on a établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques il estime que le document n'est pas de bonne qualité que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ que les références ne correspondent pas au document à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on les fasse de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique les opérations d'indexations sont terminées nous déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations sont terminées‚ nous allons déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une cession de copies sur optique numérique allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur ensuite par le terrain primeur l'opération dont deux villages des documents se trouvant sur le disque magnétique sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur disque optique copies sur disque va se faire sous forme compresseur suivant la norme était groupe trois avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents à savoir numérisation à huit millimètres avec stations et copies sur disques optiques nous en maintenant à la partie exploitation elle peut se faire de façon soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local grand haute définition au sur un paiement laser elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle également se faire en exploitant les clés les commandes des clients situés à l'extérieur utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· utilisateurs n'ont pas accès directement à tranche d'acte par l'intermédiaire du serveur costel ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données par l'intermédiaire de ce même serveur par ses co la commande de l'article qui les intéresse commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour ensuite déclencher euh l'de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher de d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles aux commandes des clients cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre a une débit d'environ dix copies à la minute fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· nous passons maintenant à la filière mais gros fiche son architecture est identique à celle de la filière précédente comprend processeur image liée à micro ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion processeur gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques imprimantes laser l'armoire de stockage qui contient les micros fiches proprement dit et les grands définitions pour la visualisation des documents armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· armoire de stockage baptisée tel mille cinq milles au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers paniers pouvant contenir deux cents cinquante six micro fiches milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· milieu de ces deux colonnes de paniers déplace un élément mobile cantonnant le numérisées heures capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire donc de ordre de cinq milles micro fiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches a peu près cinq cents milles pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages le type de micro que utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons utilisons opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · opération d'indexations nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier lesquels les micros fiches introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après leur référence man des images se trouvant sur ce profil l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des des images se trouvant sur ces microfiches l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches l'opération d'indexations nous allons introduire le panier l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle indiquait système le numéro de panier la popularité des micros fiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les micros fiches que nous voulons indexer allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· allons maintenant introduire dans l'appareil les micros fiches préalablement réalisées par le laboratoire de micros graphiques ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Npus allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· ce système prend en compte fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche fiche l'affiche sur les grands la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran la première page avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· avons ensuite des possibilités de déplacement de sept micros fiches pour la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page l'article que l'on compte indexée on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente dont le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document on va indiquer également fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article fin l'article opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· opération est en fait mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ mini ordinateur a fait maintenant le ménage entre les images de amis gros fish c'est référence logique représentée ici par son le numéro allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères allons de la même façon avec ces tous les documents se trouvant sur cette micro fiches terminée la micro fichée maintenant à son emplacement définitif connu par le système allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre paniers dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation sommes maintenant devant le terminal d'exploitation comme sur l'autre filière nous disposons mêmes fonctionnalités nous allons montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage document sur les grands haute définition entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document armoires accède aux fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède fiches sur la numérisation en huit points en millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on donc de la première page temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran temps moyen d'accès d'une page sur euh fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur fond total de l'armoire qui peut en représenter cinq cents milles de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes comment des utilisateurs sont pris en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser micro fiches correspondant nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre mais correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document éditions d'un bordereau de l'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages concernés ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· ces documents en fuite envoyées aux clients par postale venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système tranche d'acte avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type l'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles dans le cadre de cette expérience dans un premier temps trente ce ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de document primaire vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont été à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste sommes conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré est pourquoi en quatre-vingt six nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire d'un du réseau communauté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment euh via le satellite telecom un pour envoyer à un centre régional document beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le temps de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'une dizaine de secondes que par le réseau cohabiter il à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le temps de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'une dizaine de secondes alors que par le réseau commuté il faut à peu près deux à trois minutes fin quatre-vingt six nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le temps de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'une dizaine de secondes alors que par le réseau commuté il faut à peu près deux à trois minutes fin 1986 nous aurons atteint un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en quatre-vingt trois savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le temps de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'une dizaine de secondes alors que par le réseau commuté il faut à peu près deux à trois minutes fin 1986 nous aurons atteint avec un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en 1983 savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le temps de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'une dizaine de secondes alors que par le réseau commuté il faut à peu près deux à trois minutes fin 1986 nous aurons atteint avec un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en 1983 à savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion l'vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
Nous sommes ici dans les locaux du Centre de documentation scientifique et technique du CNRS à Paris où est installé le système expérimental de fourniture électronique de documents TRANSDOC· Ce système a été mis en place par un groupement d'organismes français qui sont le CNRS‚ l'INPI‚ l'EDF et GDF‚ la société télésystème Questel‚ il a été réalisé également avec l'association de la fédération nationale de la presse spécialisée· Cette expérimentation a été conçue pour répondre à un appel d'offres de 1982 des Communautés européennes appelé DOCDEL· Il portait sur tout système concernant l'édition et la fourniture électroniques de documents· L'originalité du système TRANSDOC c'est de mettre dans une application deux filières différentes s'appuyant l'une sur un support connu et maîtrisé depuis longtemps qui est la microfiche‚ l'autre sur un support nouveau qui est le disque optique numérique La filière disque optique est organisée autour de deux pôles Tout d'abord un ordinateur conventionnel qui s'occupe de la gestion de l'ensemble du système‚ qui possède les références bibliographiques des documents images et qui est également chargé de la connexion avec les serveurs extérieurs· Ensuite‚ un ordinateur spécialisé qui gère lui tout le circuit image et auquel sont connectés les différentes terminaux images qui sont le numériseur‚ les écrans haute définition‚ l'imprimante à laser et le lecteur enregistreur de disques optiques numériques· Le disque optique que nous utilisons ici est fourni par la société ALCATEL THOMSON GIGAGISQUE· C'est un disque monoface dont la capacité maximum est d'1 GigaOctet· Il a un diamètre de 12 pouces c'est-à-dire environ 30 cm· La première opération va consister à charger les références bibliographiques des documents à saisir sur le mini··· ces références comprennent le titre du périodique‚ le titre de l'article et le nom des auteurs‚ ainsi que deux clés d'accès l'une composée de 36 caractères‚ qui comprend entre autres le numéro ISSN‚ le volume‚ l'année et la pagination‚ La deuxième clé qui est au maximum de 9 caractères est un simple numéro incrémenté à chaque article Une fois l'opération de chargement des références terminée‚ il y aura une étape de préparation des documents‚ qui consiste à reporter une des clés en tête de chaque article de périodique‚ pour ensuite réaliser l'opération de numérisation· Vous avez actuellement l'opération qui se déroule devant vous‚ suivant le type de document‚ les cadences obtenues varient de 350 à 600 pages / heure· Une fois la numérisation terminée‚ le document se trouve stocké provisoirement sur une mémoire magnétique‚ qui est intégrée dans le processeur image dont on a parlé tout à heure· Après numérisation‚ les documents se trouvent donc stockés sur mémoire magnétique tampon‚ dans l'ordre où ils ont été scannés· L'opération d'indexation va donc permettre de rappeler ces images sur un écran haute définition‚ qui se trouve sur la partie gauche et ensuite d'associer à ces images des références bibliographiques qui sont contenues sur l'ordinateur· Pour ce faire‚ on utilise donc le numéro qui est indiqué en haut de chaque article et que l'on a inscrit au moment de la préparation des documents C'est ce numéro que l'on va donner à l'ordinateur qui va ensuite nous envoyer‚ sur la console informatique qui se trouve à droite‚ les références complètes de ce document· Après vérification du document‚ l'opérateur va décider s'il valide ce document‚ c'est-à-dire qu'à ce moment-là‚ l'indexation est réellement effectuée‚ on a donc établi un lien entre les images et les références logiques ou s'il estime que le document n'est pas de bonne qualité‚ ou que les références ne correspondent pas au document‚ à ce moment-là on détruit un document c'est-à-dire qu'on l'efface de la mémoire magnétique quand les opérations d'indexations seront terminées‚ nous allons déclencher une session de copies sur disques optiques numériques nous allons charger le disque dans son lecteur enregistreur et ensuite‚ par le télé-imprimeur‚ démarrer l'opération donc de vidage des documents se trouvant sur le disque magnétique tampon sur le disque optique· Cette copie sur disque va se faire sous forme compressée suivant la norme CCITT Groupe 3· Nous avons vu jusqu'à présent l'ensemble de la chaîne de saisie des documents‚ à savoir numérisation à 8 points au millimètres‚ indexation et copie sur disques optiques· Nous en sommes maintenant à la partie exploitation· Elle peut se faire de deux façons‚ soit en local sur écran haute définition ou sur imprimante à laser· Elle peut également se faire en exploitant les commandes des clients situés à l'extérieur· Les utilisateurs n'ont pas accès directement à TRANSDOC‚ par l'intermédiaire du serveur QUESTEL ils vont faire leurs recherches bibliographiques sur une base de données et par l'intermédiaire de ce même serveur passer la commande de l'article qui les intéresse· Cette commande sera stockée dans une boîte aux lettres électronique et TRANSDOC ira vider cette boîte aux lettres deux fois par jour pour ensuite déclencher l'opération d'exécution sur papier des articles correspondant aux commandes des clients· Cette opération se fait sur une imprimante à laser qui travaille comme tout le reste de la chaîne image à huit points au millimètre et à un débit d'environ dix copies à la minute· Une fois l'édition terminée les documents seront acheminés aux clients par la voie postale· Nous passons maintenant à la filière microfiche· Son architecture est identique à celle de la filière précédente· Elle comprend un processeur image lié à un micro-ordinateur de gestion le processeur image gérant les périphériques tels l'imprimante laser‚ l'armoire de stockage qui contient les microfiches proprement dit et l'écran haute définition pour la visualisation des documents· l'armoire de stockage baptisée STELMI-5000 contient au maximum vingt paniers chaque panier pouvant contenir 256 microfiches· Au milieu de ces deux colonnes de paniers se déplace un élément mobile contenant le numériseur la capacité totale de l'armoire et donc de l'ordre de 5000 microfiches soit à peu près 500000 pages avec le type de microfiches que nous utilisons · L'opération d'indexation nécessite l'emploi d'un panier dans lequel les microfiches seront introduites après le référencement des images se trouvant sur ces microfiches Préalablement à l'opération d'indexation‚ nous allons introduire le panier dans l'appareil de lecture et de contrôle ensuite indiquer au système le numéro de panier‚ la polarité des microfiches et bien sûr la partition c'est-à-dire le nombre d'images contenues sur les microfiches que nous voulons indexer· Nous allons maintenant introduire dans l'appareil les microfiches préalablement réalisées par le laboratoire de micrographie· Le système prend en compte cette microfiche et l'affiche sur l'écran à la première page· Nous avons ensuite des possibilités de déplacement de cette microfiche pour déterminer la première page la première page de l'article que l'on compte indexer on retrouve comme sur la filière précédente donc le numéro attribué à l'article qui correspond à des références logiques Nous allons donc indiquer au système les références de ce document et on va indiquer également le début de l'article et la fin de l'article· Ces opérations étant faites‚ Le mini ordinateur a fait maintenant le chaînage entre les images de la microfiche et ses références logiques représentées ici par le numéro à 9 caractères Nous allons de la même façon indexer tous les documents se trouvant sur cette microfiche· L'indexation terminée‚ la microfiche est maintenant à son emplacement définitif connu par le système· Nous allons remettre le panier dans l'armoire dès cet instant les documents contenus dans ce panier sont disponibles pour l'exploitation Nous sommes maintenant devant le terminal d'exploitation· Comme sur l'autre filière nous disposons des mêmes fonctionnalités· Nous allons vous montrer ici une interrogation aboutissant à un affichage du document sur l'écran haute définition· Nous entrons la référence du document l'armoire accède à la microfiche assure la numérisation en 8 points au millimètre et on dispose donc de la première page sur l'écran Le temps moyen d'accès d'une page sur le fonds total de l'armoire qui peut en représenter 500 000 est de l'ordre de cinq secondes Les commandes des utilisateurs sont prises en compte comme précédemment par interrogation de la boîte aux lettres électronique le système va donner l'ordre à l'armoire de numériser les microfiches correspondantes et nous allons éditer sur l'imprimante avec une définition de huit points au millimètre les pages correspondant au document Vous avez l'édition d'un bordereau d'accompagnement de la commande et ensuite les pages des documents concernés· Ces documents sont ensuite envoyés aux clients par voie postale· Vous venez d'assister à une démonstration de fonctionnement des deux filières le système TRANSDOC Vous avez pu constater quels sont les avantages de ce type d'organisation mais également les limites actuelles surtout dans le cadre de cette expérience· Dans un premier temps TRANSDOC ne comptait pas résoudre tous les problèmes posés par un serveur de documents primaires vous avez pu voir que si toute la partie amont était à peu près cohérente à savoir que l'utilisateur après une recherche bibliographiques pouvait faire prendre en compte très rapidement sa commande par le serveur nous avons actuellement toujours une contrainte qui est l'expédition du document par la poste Nous sommes bien conscients que dans l'état actuel de cette expérience l'utilisateur peut se sentir encore un peu frustré C'est pourquoi en 1986 nous entendons développer l'aspect transmission à distance des documents que vous avez vu éditer tout à l'heure en local· Deux axes d'expérimentation sont prévus pour la deuxième moitié de cette année le premier concerne la transmission directement chez l'utilisateur par l'intermédiaire du réseau commuté avec édition sur un télécopieur ceux-ci gardent quand même certaines limites notamment en ce qui concerne le débit possible l'autre axe d'expérimentation passe par l'utilisation de réseaux haut débit et notamment via le satellite Télécom 1 pour envoyer à un centre régional des documents beaucoup plus rapidement puisque le temps de transmission d'une page sera alors de l'ordre d'une dizaine de secondes alors que par le réseau commuté il faut à peu près deux à trois minutes fin 1986 nous aurons atteint avec un petit peu de retard le programme complet que nous avions envisagé en 1983 à savoir un système serveur efficace tant sur le plan du stockage de la gestion que de l'acheminement vers l'utilisateur de ces documents un délai très court
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