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Titre :
RII - Simulation d'embolisation d'un anévrisme intracrânien
Légende - Résumé :
Erwan Kerrien, chercheur au sein de l'équipe MAGRIT, présente l'intérêt pour les patients et les médecins du traitement des anévrismes intracrâniens par voie endovasculaire.
Cette technique consiste à boucher la poche anévrismale en y plaçant des fils de métal appelés coils. Le simulateur, implanté sur la plateforme Sofa d'Inria, permet au médecin de placer son microcathéter dans l'anévrisme et d'y déployer son premier coil de manière interactive. La paroi vasculaire est modélisée automatiquement à partir de données patient d'angiographie 3D.

Interview réalisée lors des Rencontres Inria Industrie "Simulation numérique pour la santé, de la cellule à l'humain virtuel", le 21 novembre 2012 au Palais des Congrès de Strasbourg .
Nom de fichier :
Inria-807_SHACRA-fr.mp4
Titre :
RII - Simulation d'embolisation d'un anévrisme intracrânien
Année :
2012
Durée (min) :
00:03:14
Publications :
https://videotheque.inria.fr/videotheque/doc/807
Autres versions :
Master VF : 807
Master VEN :
Autre : Lien externe :
Lien Equipe-projet :
Lien Centre de Recherche :
Mots clés :
N° master :
807
Durée :
03 min 14 sec
IsyTag :
avantage - coil - différents - examen - image - imagerie - intérêt - interventionnelles - médecin - médical - patient - simulation
Transcription automatiqu :
l'équipe magritte est située à au fond de recherches une rien euh et à deux pas en activité euh le liant c'est la réalité augmentée impensable dans les cas classiques des cas urbains par exemple l'autre pensait s'intéresser à tout ce qui euh imagerie dans un contexte d'intervention l'usage qu'on peut faire de cette technique dans l'imagerie médicale le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventions d'imagerie se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients eux ne sont pas ouverts c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par cette église invasives le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voit pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se de se sur des images intervention nel dans dans mon cas c'est beaucoup euh les images rayons x euh qui ont comme avantage de montrer interview l'du patient sans qu'il soit ouvert qui sont pauvres en informations qui uniquement des projections alors que le geste médical est trois des derrière notre but c'un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à au fond de recherches une rien euh et à deux pas en activité euh le liant c'est la réalité augmentée impensable dans les cas classiques des cas urbains par exemple l'autre pensait s'intéresser à tout ce qui euh imagerie dans un contexte d'intervention l'usage qu'on peut faire de cette technique dans l'imagerie médicale le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventions d'imagerie se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients eux ne sont pas ouverts c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par cette église invasives le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voit pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se de se sur des images intervention nel dans dans mon cas c'est beaucoup euh les images rayons x euh qui ont comme avantage de montrer interview l'du patient sans qu'il soit ouvert qui sont pauvres en informations qui uniquement des projections alors que le geste médical est trois des derrière notre but c'un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité liant c'est la réalité augmentée impensable dans les cas classiques des cas urbains par exemple l'autre pensait s'intéresser à tout ce qui euh imagerie dans un contexte d'intervention l'usage qu'on peut faire de cette technique dans l'imagerie médicale le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventions d'imagerie se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients eux ne sont pas ouverts c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par cette église invasives le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voit pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se de se sur des images intervention nel dans dans mon cas c'est beaucoup euh les images rayons x euh qui ont comme avantage de montrer interview l'du patient sans qu'il soit ouvert qui sont pauvres en informations qui uniquement des projections alors que le geste médical est trois des derrière notre but c'un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple l'autre pensait s'intéresser à tout ce qui euh imagerie dans un contexte d'intervention l'usage qu'on peut faire de cette technique dans l'imagerie médicale le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventions d'imagerie se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients eux ne sont pas ouverts c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par cette église invasives le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voit pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se de se sur des images intervention nel dans dans mon cas c'est beaucoup euh les images rayons x euh qui ont comme avantage de montrer interview l'du patient sans qu'il soit ouvert qui sont pauvres en informations qui uniquement des projections alors que le geste médical est trois des derrière notre but c'un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention l'usage qu'on peut faire de cette technique dans l'imagerie médicale le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventions d'imagerie se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients eux ne sont pas ouverts c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par cette église invasives le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voit pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se de se sur des images intervention nel dans dans mon cas c'est beaucoup euh les images rayons x euh qui ont comme avantage de montrer interview l'du patient sans qu'il soit ouvert qui sont pauvres en informations qui uniquement des projections alors que le geste médical est trois des derrière notre but c'un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients eux ne sont pas ouverts c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par cette église invasives le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voit pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se de se sur des images intervention nel dans dans mon cas c'est beaucoup euh les images rayons x euh qui ont comme avantage de montrer interview l'du patient sans qu'il soit ouvert qui sont pauvres en informations qui uniquement des projections alors que le geste médical est trois des derrière notre but c'un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images informations de crédit émotionnelle donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin la première application c'est pour la pour l'enseignement d'point de vue pédagogique pour les pour les médecins pour former les médecins parce le que la formation est très longue en fait un choix difficile la formation est très l'intérêt fait entraîner les médecins sur des vraies données et pas des modèles trop simplifiés pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été euh d'examen de d'autres radios euh sur le patient et donc le médecin a une du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient l'intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut euh prendre une de ce un de ses cas qui l'intéresse le donna à ses oeuvres deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient Et l'autre intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut prendre un de ces cas qui l'intéresse et le donner à étudier à ses élèves deuxième la deuxième application c'est la planification opératoire là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier koï et parfois choisir ce premier col demande de faire plusieurs effets sur le patience et bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient Et l'autre intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut prendre un de ces cas qui l'intéresse et le donner à étudier à ses élèves La deuxième application c'est la planification opératoire Là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier coil et parfois choisir ce premier coil demande de faire plusieurs essais sur le patient ce qui bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres là le médecin pourrait être stressée prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différent quand ils le feront szoty choisir bon d'emblée pour l'opération dure moins longtemps et que à priori soit plus sûr la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient Et l'autre intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut prendre un de ces cas qui l'intéresse et le donner à étudier à ses élèves La deuxième application c'est la planification opératoire Là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier coil et parfois choisir ce premier coil demande de faire plusieurs essais sur le patient ce qui bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres Là le médecin pourrait être stressé prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différents coils différents outils et choisir le bon d'emblée pour que l'opération dure moins longtemps et que a priori elle soit plus sure la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient Et l'autre intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut prendre un de ces cas qui l'intéresse et le donner à étudier à ses élèves La deuxième application c'est la planification opératoire Là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier coil et parfois choisir ce premier coil demande de faire plusieurs essais sur le patient ce qui bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres Là le médecin pourrait être stressé prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différents coils différents outils et choisir le bon d'emblée pour que l'opération dure moins longtemps et que a priori elle soit plus sure Enfin la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération euh l'intérêt euh d'enrichir c'est là qu'on revient à augmenter c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement vivant assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient Et l'autre intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut prendre un de ces cas qui l'intéresse et le donner à étudier à ses élèves La deuxième application c'est la planification opératoire Là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier coil et parfois choisir ce premier coil demande de faire plusieurs essais sur le patient ce qui bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres Là le médecin pourrait être stressé prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différents coils différents outils et choisir le bon d'emblée pour que l'opération dure moins longtemps et que a priori elle soit plus sure Enfin la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération Là l'intérêt est d'enrichir c'est là qu'on revient à la réalité augmentée c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement bi-dimensionnelle assez pauvre en informations en lui en collant la simulation à ce qu'il voit cette simulation elle est très dimensionné et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en entre dimensions pour les médecins qui pourrait tourner autour de son corps il est bien appréhender le résultat d'entraînement
L'équipe Magrit est située à à Nancy au centre de recherche Inria Nancy et a deux pans d'activité Le liant c'est la réalité augmentée donc un pan c'est dans les cas classiques les cas urbains par exemple Et l'autre pan c'est de s'intéresser à tout ce qui est imagerie médicale dans un contexte d'intervention et l'usage qu'on peut faire de ces techniques dans l'imagerie médicale Le but en fait c'est de s'intéresser aux images aux techniques interventionnelles d'imagerie qui se développent de plus en plus parce que l'avantage médical c'est que les patients ne sont pas ouverts Donc c'est moins traumatisant pour les patients on peut traiter de plus en plus de pathologies par ces techniques minimalement invasives Le problème pour les médecins c'est que comme ils n'ouvrent pas le patient il ne voient pas les organes il ne voient pas forcément ce qu'ils font donc ils besoin de se baser sur des images dites interventionnelles et dans dans mon cas c'est beaucoup les images rayons x qui ont comme avantage de montrer l'intérieur du patient sans qu'il soit ouvert mais qui sont pauvres en informations qui sont uniquement des projections alors que le geste médical est 3D derrière Donc notre but et c'est un peu la base de la réalité augmentée c'est de rajouter dans ces images des informations tridimensionnelles donc d'augmenter les images du médecin La première application c'est pour l'enseignement d'un point de vue pédagogique pour les médecins pour former les médecins parce la formation est très longue en fait c'est un geste difficile la formation est très longue L'intérêt c'est d'entraîner les médecins sur des vraies données et non pas des modèles trop simplifiés de pouvoir aussi ajouter ces vraies données des données qui ont été d'examen d'autres radios sur le patient et donc le médecin a une vue globale du patient Et l'autre intérêt c'est que le médecin qui enseigne peut prendre un de ces cas qui l'intéresse et le donner à étudier à ses élèves La deuxième application c'est la planification opératoire Là pour planifier ce qui est très important c'est de choisir le premier coil et parfois choisir ce premier coil demande de faire plusieurs essais sur le patient ce qui bien sûr allonge le temps d'examen et donc n'est pas bon pour le patient entre autres Là le médecin pourrait être stressé prendre son temps la veille au soir par exemple ou le matin avant de faire son opération essayer différents coils différents outils et choisir le bon d'emblée pour que l'opération dure moins longtemps et que a priori elle soit plus sure Enfin la troisième application c'est à plus long terme d'utiliser la simulation pendant l'opération Là l'intérêt est d'enrichir c'est là qu'on revient à la réalité augmentée c'est d'enrichir l'imagerie du médecin qui est purement bi-dimensionnelle qui est assez pauvre en information en collant la simulation à ce qu'il voit Et cette simulation elle est tri-dimensionnelle et pourrait donner une vraie image de ce qui se passe en trois dimensions pour le médecin qui pourrait tourner autour de son coil et bien appréhender le résultat de son traitement
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